Pour ce dernier billet, j’aimerais parler du Web 2.0
et plus spécifiquement d’un de ces outils le plus utilisés sur le web : le
blogue. (Sehili, s.d.)
À l’instar des caractéristiques du Web 2.0, le
blogue est simple d’utilisation et facile d’appropriation. Il est facile de
modifier le contenu et la structure des pages, même pour ceux ayant peu d’habiletés. De plus,
le blogue nous permet d’interagir avec les autres internautes. (Villa, 2014)
En éducation, l’utilisation du blogue est très
intéressante. On peut le retrouver sous trois formes : le blogue de
classe, le blogue de l’enseignante et le blogue de l’élève.
Le blogue de classe est créé en collaboration entre
l’enseignante et les élèves. Il permet d’y inclure les différents éléments de
la vie de classe tels que l’horaire, les projets, les messages importants, les
sorties scolaires, etc. Aussi, il permet d’alimenter les discussions de classes
et d’y partager des ressources utiles entre les élèves. Finalement, le blogue
de classe est un moyen pour l’enseignante de soutenir les élèves en difficulté
en leur fournissant des explications et des exercices personnalisés. (Sehili,
2011) Voici un exemple de blogue de classe : http://cybersavoir.csdm.qc.ca/classe6e/
Le blogue de l’enseignante quant à lui permet à ce
dernier de partager avec ses collègues des informations au sujet de l’éducation,
des sites internet, des idées d’activités, des réflexions ou bien des recherches.
Aussi, il peut être partagé avec ses élèves. L’enseignante peut y inclure des
travaux, des exercices ou des consignes spécifiques à un projet de classe. Les
élèves sont alors invités à consulter le blogue, donner leur opinion sur le
contenu ou répondre à des questions posées par l’enseignante. (Sehili, 2011) Voici un exemple de blogue d’enseignante :
http://www.profenville.com/2011/02/logiciels-et-jeux-pour-le-tbi-tableau-blanc-interactif/
Le blogue de l’élève est construit et personnalisé
par l’élève lui-même. Il peut servir à partager des ressources ou des informations
avec ses pairs ou l’enseignante. En effet, le blogue favorise la communication
et la collaboration entre élèves. Ceux-ci peuvent publier leurs travaux et
réalisations, aussi bien que leurs réflexions et leurs apprentissages. Le
blogue est aussi un moyen de communication avec le monde réel puisque n’importe
qui peut y avoir accès. L’élève fait donc des apprentissages en ce qui a trait
au droit d’auteur, à l’identité numérique et à la vie privée sur le web. (Villa,
2014) Voici un exemple de blogue d’élève :http://www.proticblog.net/an2005/index.php?blogId=26
Avez-vous déjà considéré utiliser un blogue en
classe?
Villa, G. (2014) PPA
1114- WEB 2.0, sécurité sur internet et i-pad [Présentation
PowerPoint]. Repéré dans l'environnement StudiUM: https://studium.umontreal.ca/
Je ne sais
pas si vous pensez comme moi, mais dès qu’on me parle d’intégration des
technologies de l’information et de la communication, je pense au tableau
numérique interactif (TNI). Si je possède dans ma classe un TNI, je peux donc
me considérer comme une enseignante qui intègre bien les TIC auprès de ses
élèves. Le billet de cette semaine portera sur les inconvénients et les avantages
du TNI.
À mon grand
regret, je n’ai jamais eu la chance d’utiliser un tel outil lors de mes stages.
Il m’est donc difficile d’émettre mon opinion sur les obstacles et les
facilitateurs du TNI dans un contexte pédagogique. Toutefois, j’ai pu
expérimenter le TNI une fois en suppléance pour finalement me rendre compte que
posséder l’outil est une chose et savoir l’utiliser en est une autre. Ce
premier inconvénient que je relève est aussi partagé par Lalande (2010). En effet,
celui-ci explique que la présence d’un TNI dans une classe ne veut pas dire une
intégration réussie des TIC. Il doit être accompagné d’une formation quelconque
et d’une prise de conscience de l’enseignant. (Lalande, 2010) Ce dernier
élément m’amène à parler d’un autre point négatif du TNI apporté par l’auteur. En
tant qu’enseignant, on doit être conscient des possibilités d’utilisation du
TNI sans quoi on ne développera jamais le plein potentiel de cet outil couteux.
Utiliser le TNI seulement pour classer
des images, associer des mots ou assembler des casse-têtes revient à se servir
de l’outil comme d’un projecteur. (Lalande, 2010) Il ne faut pas tomber dans le
panneau… Pour l’éviter, la formation est la clé. Un autre inconvénient du TNI
est l’ajout de minutes voir d’heures au temps passé devant un écran. De nos
jours, les élèves ont de multiples occasions dans une journée de fixer un
écran. Que ce soit celui du téléviseur, du Ipad, du Ipod, de l’ordinateur, d’une
console portable de jeux vidéo et maintenant du TNI, passer trop de temps
devant un écran est néfaste pour le développement de l’enfant et les rendre
sédentaires. (Okely & Jones, 2011)
Heureusement,
les avantages sont multiples! Au niveau didactique, le TNI permet à l’enseignant
de rendre les manipulations visibles (concepts d’addition, de soustraction ou
bien de déplacement du groupe complément de phrase par exemple), de partager avec
ses élèves les pages créées tout en conservant les notes qui y sont prises
ainsi que de revoir ces mêmes pages en classe. Le tableau vert à une
utilisation éphémère. Une fois effacées, les notes et les idées sont perdues.
(Lalande, 2010) Aussi, le TNI permet de créer des activités qui sont
interactives. Cette interaction amène l’élève à être actif dans son
apprentissage et est un facteur important de la motivation scolaire. Finalement,
créer et animer des activités sur le TNI diminue la quantité de papier utilisé
puisque tout est projeté sur un écran. L’utilisation
d’un tel outil nous permet donc d’être écologique et de développer en même
temps la compétence transversale exploiter les technologies de l’information
et de la communication chez nos élèves!
L’auteur y
a même inclus des tutoriels sur l’utilisation des outils du TNI et de Notebook.
Voici une vidéo présentant les outils de Notebook :
________________________________________
Lalande, M-A. (2010) Le tableau
blanc interactif (TBI) en éducation : ses avantages et ses limites.Service national du RÉCIT. Repéré :
http://www.treaqfp.qc.ca/113/pdf/Coup_oeil_oct10/TBI_en_education.pdf
Okely, A.
D., Jones, R. A. (2011) Recommandations en matière de comportements sédentaires
chez les jeunes enfants. Encyclopédie sur
le développement des jeunes enfants. Repéré : http://www.enfant-encyclopedie.com/pages/PDF/Okely-JonesFRxp1.pdf
Pour ce billet, je vous présente
BrainPOP! C’est un site éducatif qui présente des centaines de films d’animation
en ligne sur divers sujets abordés à l’école. Comme c’est un site français, les
vidéos sont regroupées selon les domaines d’enseignement de l’école française :
sciences de la terre, techno et ingénierie, sciences de la vie, histoire-géo et
société, art et musique, mathématiques et français.
En cliquant sur ces onglets, on
découvrir plusieurs films d’animation d’une durée de moins de 5 minutes chacun.
À la fin du visionnement, il est possible d’effectuer un quiz. On peut soit l’imprimer,
soit le faire en ligne. Si on décide de le faire en ligne, on a le choix entre
le quiz progressif qui transmet le score à la fin du test ou bien le quiz
interactif qui indique les erreurs après chaque réponse fournie.
Il est possible de faire une
recherche parmi toutes les vidéos afin de trouver le film qui correspond au
sujet étudié.
Le site BrainPOP permet d’intégrer
les TIC facilement dans notre classe. On peut utiliser les vidéos comme mise en
situation pour éveiller l’intérêt des élèves, comme méthode de révision pour vérifier
les connaissances des élèves ou tout simplement pour…planifier nos cours! Les
vidéos proposés sont très éducatifs et complets. L’équipe de BrainPOP est
composée de scientifiques et de pédagogues. Cette source d’information est donc
très fiable.
Ces cours vidéos sont parfaits
pour combler un 10 minutes que l’on n’avait pas prévu à notre horaire. Ils ont
une touche d’humour qui saura plaire à nos élèves. Les quiz qui accompagnent
les vidéos rendent cette activité pédagogique.
En fouillant le site, j’ai
découvert sous l’onglet techno et ingénierie des vidéos sur la technologie de l’information et de la communication. On y parle de la sécurité en ligne, des blogues, des
réseaux sociaux, le stockage de données et j’en passe. Ce site est donc à jour
par rapport à la réalité de nos élèves!
Je suis bien heureuse d’avoir
fait cette découverte et j’ai vraiment hâte de l’utiliser lors de mon prochain
stage!
Un site internet vous intéresse et vous désirez le conserver dans vos favoris. Toutefois, vous êtes à l’école ou au travail et vous n’avez donc pas accès à votre ordinateur personnel. Vous vous envoyez donc le lien par courriel afin de l’ajouter dans le marque-page de votre navigateur une fois arrivé à la maison.
Vous reconnaissez-vous? Moi, oui!
Cette façon de faire n’est pas bien pratique. Effectivement, ces favoris que vous créez ne sont accessibles que sur votre ordinateur personnel. Si vous changez d’appareil, vous perdez tous vos liens.
Bien que je me sois moi-même toujours bien débrouillée avec cette méthode, j’ai découvert le site Symbaloo qui est pratique et facile à utiliser. Il s’agit d’un portail en ligne qui vous permet de créer des webmix (pages) où vous insérez des liens dans des blocs prévus à cet effet. L’inscription est gratuite. Vous pouvez regrouper vos liens comme vous le voulez et créer le nombre de pages que vous souhaitez. Ces liens sont disponibles sur tous les ordinateurs puisqu’ils sont enregistrés dans un nuage disponible sur le web. Il est possible de partager ses webmix avec les autres ou bien de sélectionner le mode privé. Aussi, on peut ajouter des webmix à notre propre Symbaloo.
Dans un contexte de classe, le portail Symbaloo est plus que pertinent. On peut créer un webmix de classe et le partager avec nos élèves. Ils auront donc accès à des jeux éducatifs, en ligne, des exercices supplémentaires, des tests en ligne, etc. On peut aussi créer une page pour les parents et leur donner facilement accès à des ressources.
Pour
ce deuxième billet, j’aimerais vous présenter le générateur de réseaux de
concept bubbl.us. Disponible en ligne, il permet de créer
facilement et rapidement des réseaux de concept en liant des «bulles» entre
elles. À la fois une stratégie d’enseignement, une stratégie d’apprentissage et
un outil de communication, la carte conceptuelle amène le concepteur de
celle-ci à activer ses connaissances antérieures et à faire des liens entre les
idées. Ceci facilite donc l’intégration des connaissances chez l’utilisateur.
(Laflamme, 2011) En tant qu’enseignante, il est donc très pertinent de se
familiariser avec les réseaux de concept. Le site que je vous présente ne vous
rendra la tâche que plus facile.
Carte conceptuelle de mon billet
Après l’avoir utilisée dans un de mes cours à
l’université, je suis maintenant en mesure de dresser la liste des avantages et
des inconvénients :
+
Un tutoriel en ligne ainsi que des
exemples de réseaux de concepts sont offerts.
Le générateur est simple d’utilisation.
On peut changer la couleur des bulles et
du texte
Le produit final est visuellement
attrayant.
Une sauvegarde automatique se fait chaque
20 secondes.
Il est possible d’enregistrer sur son
ordinateur la carte conceptuelle sous format .jpg ou .png dans le but de la
télécharger sur le web.
-
Le site est en anglais.
On soit avoir accès à internet pour
utiliser le générateur, car c’est une ressource en ligne.
Si on veut imprimer une carte
conceptuelle comprenant un grand nombre de bulles et de liens, le produit final
est très petit et difficile à lire.
Pour pouvoir joindre des fichiers, des
liens internet ou des images aux bulles, on doit mettre à niveau notre compte
et cela est payant.
Bref,
je suis satisfaite de ce générateur de réseaux de concept et je le recommande
pour l’élaboration de carte conceptuelle. Avec un peu de pratique, je crois que
la plupart des élèves peuvent en comprendre le fonctionnement même s’ils ne
parlent pas l’anglais. Mon seul bémol concerne les réseaux de concept plus
élaborés qui perdent de leur qualité et de leur intelligibilité lors de
l’impression.
_______________________________________________ Laflamme, A. (2011) Soutenir l’apprentissage en profondeur et la collaboration avec les cartes conceptuelles. Université de Montréal : Montréal.
C’est à cette question que je
tenterai de répondre dans le billet de cette semaine. Avant de prendre position
sur la conférence animée par Salman Khan, je vous invite à la visionner.
Pour ceux
qui n’ont pas le temps de regarder la vidéo, voici le résumé de la conférence
repéré au lien ci-dessus :
«Salman
Khan parle du pourquoi et du comment de la création de la remarquable Khan Academy, une collection
soigneusement structurée de vidéos éducativesqui
offrent un programme complet en mathématiques, et, maintenant, dansd'autres domaines. Il démontre le
pouvoir des exercices interactifs, et appelle lesenseignants à réviser le contenu d'une classe traditionnelle --
en donnant aux étudiants des
conférences vidéos à regarder à la maison, et en faisant les"devoirs" dans la salle de
classe avec l'enseignant disponible pour apporter de l'aide.»
À la suite du visionnement de la
conférence, j’ai dégagé deux pratiques principales dans le programme proposé
par Khan, soient les vidéos éducatives regardées à la maison et les exercices interactifs
faits en classe sous la supervision de l’enseignante. Étant étudiante au
Baccalauréat en adaptation scolaire, l’éducation des élèves handicapés ou en
difficulté d'adaptation ou d'apprentissage (HDAA) a évidemment eu une influence
sur ma prise de position.
Je crois que le programme d’enseignement
proposé à la Khan academy peut
effectivement réinventer le monde de l’enseignement auprès de l’éducation des
adultes, des élèves du secteur régulier dans les écoles primaires et
secondaires ainsi que pour les enfants qui font l’école à la maison. Pour
profiter de cette technologie, les apprenants doivent être autodidactes ainsi
que faire preuve de maturité, de motivation, d’organisation et d’autonomie.
Vraisemblablement, ce sont des
habiletés que l’on retrouve rarement chez les élèves HDAA. C’est pourquoi mon
opinion est plutôt nuancée en ce qui concerne l’application du programme de M.
Khan auprès de ces élèves.
D’une part, je constate que les vidéos
éducatives que les élèves doivent regarder à la maison ne sont pas du tout
appropriées à l’enseignement des différents concepts à l’étude. Voici mes
arguments :
- Il n’y a pas de possibilités de
différenciation des apprentissages; tous les élèves visionnent la même vidéo.
- L’élève n’est pas actif dans son
apprentissage. Vienneau (2011, p.181) explique l’importance de l’activité et du
contact direct avec l’environnement chez l’apprenant qui «doit construire
activement ses connaissances par des manipulations, des mises en situation, des
expériences diverses dans l’environnement scolaire et dans son milieu de vie.»
Le simple visionnement d’une vidéo ne permet pas tout cela.
- Avez-vous déjà observé un enfant
qui regarde un écran de télévision ou d’ordinateur? L’enfant devient amorphe,
la bouche ouverte et les yeux vitreux. Il semble être absorbé dans un autre
monde. Il subit la vidéo au lieu de vivre l’apprentissage. À long
terme, cela ne peut pas être bénéfique pour son apprentissage.
- Une vidéo ne pourra jamais remplacer
l’être humain. C’est la chaleur, la présence et le soutien d’un enseignant ou d’une
enseignante que l’élève HDAA a besoin lorsqu’il effectue un apprentissage.
- Aucune rétroaction directe ne
peut être donnée à l’élève lors de l’apprentissage puisqu’il se trouve à la
maison devant une vidéo qui défile sans s’arrêter pour répondre à ses questions.
D’autre part, je soutiens que les
exercices interactifs effectués en classe sont adaptés et adaptables aux élèves
d’une classe d’adaptation scolaire. Voici mes arguments :
- Comme l’enseignement de la
matière ce fait à la maison, l’enseignante a plus de temps en classe pour la
pratique. Elle peut prendre le temps d’observer les élèves et de soutenir ceux
qui en ont le plus besoin.
- L’élève chemine à son propre
rythme dans les exercices qui lui sont proposés. Le système est programmé de
telle sorte que l’apprenant doit réussir une série de 10 exercices avant de
passer à la prochaine. Le niveau de difficulté augmentant d’une série à l’autre.
Suivre le rythme d’apprentissage de chacun est bénéfique pour tous les élèves,
spécialement pour ceux des classes d’adaptation scolaire.
- Grâceau tableau
des apprentissages et aux différents graphiques, l’enseignante est facilement
au courant du cheminement des élèves. Elle peut donc rapidement identifier les
élèves qui éprouvent des difficultés et leur apporter du support.
- Aussi, l’élève peut voir sa
progression et toutes les réussites qu’il a effectuées. Cela est extrêmement
motivant et bon pour l’estime de soi de l’apprenant. Les élèves en difficulté
ont souvent une image négative d’eux-mêmes et les différents échecs auxquelles
ils doivent faire face minent leur motivation. (St-Laurent, 1995) Or, ce sont
deux aspects très importants dans la réussite scolaire.
- Dans le tableau des
apprentissages, l’enseignant peut en profiter pour regrouper un élève qui a de
la difficulté dans un concept (rouge) avec un élève qui n’en éprouve pas (vert).
Le tutorat par les pairs peut être bénéfique pour les élèves en difficulté qui sont
parfois plus habiles que les enseignants pour expliquer un concept qui échappe
à un élève. En effet, St-Laurent (1995) qualifie ce mode de regroupement comme
utile et efficace auprès des élèves à risque.
Voici le tableau des apprentissages
et les différents graphiques (captures d’écrande la conférencerepéré à :
Chaque ligne représente un élève et chaque colonne un apprentissage. Le
vert indique que l’élève maîtrise la matière, le bleu qu’il y travaille encore et
le rouge qu’il a un blocage concernant le concept.
Graphique indiquant les problèmes réussis et ceux échoués.
Graphique indiquant la progression de tous les élèves de la classe dans
les modules à l’étude au fil des jours.
Graphique indiquant les minutes passées par les élèves à faire les
exercices et visionner les vidéos
Graphique indiquant les contenues des vidéos visionnées et des exercices
effectués.
Tout comme les approches, les programmes
d’intervention et les pratiques communes à la pédagogie, le programme de M.
Khan n’est pas différent. Il peut faire des miracles chez certains élèves alors
que pour d’autres, il les mène à l’échec. En tant qu’enseignante, il est
impératif de choisir les approches et les programmes qui sauront répondre aux
besoins et aux difficultés de nos élèves. J’ai bien aimé découvrir cette
nouvelle façon d’enseigner et c’est une autre connaissance que j’ajouterai à
mon coffre à outils d’enseignante!
Et vous, qu’en pensez-vous?
Partagez-vous la même opinion que moi?
________________________________
St-Laurent, L., Giasson, J.,
Simard, C., Dionne, J., Royer, É. Et collaborateurs. (1995) Programme d'intervention auprès des élèves à
risque : une nouvelle option éducative. Montréal : Gaëtan Morin
Éditeur.
Vienneau, R. (2011)Apprentissage et enseignement : théories et pratiques. Montréal :
Gaëtan Morin Éditeur.