lundi 7 avril 2014

Le Web 2.0 et les blogues

Pour ce dernier billet, j’aimerais parler du Web 2.0 et plus spécifiquement d’un de ces outils le plus utilisés sur le web : le blogue. (Sehili, s.d.)

À l’instar des caractéristiques du Web 2.0, le blogue est simple d’utilisation et facile d’appropriation. Il est facile de modifier le contenu et la structure des pages,  même pour ceux ayant peu d’habiletés. De plus, le blogue nous permet d’interagir avec les autres internautes. (Villa, 2014)

www.cmswire.com

En éducation, l’utilisation du blogue est très intéressante. On peut le retrouver sous trois formes : le blogue de classe, le blogue de l’enseignante et le blogue de l’élève.

Le blogue de classe est créé en collaboration entre l’enseignante et les élèves. Il permet d’y inclure les différents éléments de la vie de classe tels que l’horaire, les projets, les messages importants, les sorties scolaires, etc. Aussi, il permet d’alimenter les discussions de classes et d’y partager des ressources utiles entre les élèves. Finalement, le blogue de classe est un moyen pour l’enseignante de soutenir les élèves en difficulté en leur fournissant des explications et des exercices personnalisés. (Sehili, 2011) Voici un exemple de blogue de classe : http://cybersavoir.csdm.qc.ca/classe6e/

Le blogue de l’enseignante quant à lui permet à ce dernier de partager avec ses collègues des informations au sujet de l’éducation, des sites internet, des idées d’activités, des réflexions ou bien des recherches. Aussi, il peut être partagé avec ses élèves. L’enseignante peut y inclure des travaux, des exercices ou des consignes spécifiques à un projet de classe. Les élèves sont alors invités à consulter le blogue, donner leur opinion sur le contenu ou répondre à des questions posées par l’enseignante. (Sehili, 2011)  Voici un exemple de blogue d’enseignante : http://www.profenville.com/2011/02/logiciels-et-jeux-pour-le-tbi-tableau-blanc-interactif/

Le blogue de l’élève est construit et personnalisé par l’élève lui-même. Il peut servir à partager des ressources ou des informations avec ses pairs ou l’enseignante. En effet, le blogue favorise la communication et la collaboration entre élèves. Ceux-ci peuvent publier leurs travaux et réalisations, aussi bien que leurs réflexions et leurs apprentissages. Le blogue est aussi un moyen de communication avec le monde réel puisque n’importe qui peut y avoir accès. L’élève fait donc des apprentissages en ce qui a trait au droit d’auteur, à l’identité numérique et à la vie privée sur le web. (Villa, 2014) Voici un exemple de blogue d’élève : http://www.proticblog.net/an2005/index.php?blogId=26

Avez-vous déjà considéré utiliser un blogue en classe?
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Sehili, S. (s.d.) Le blogue, un outil qui a du potentiel. Repéré à http://recit.qc.ca/dossiers/le-blogue-un-outil-qui-du-potentiel

Sehili, S. (2011) Utilisation pédagogique du blogue. Repéré à http://recit.qc.ca/article/utilisation-p%C3%A9dagogique-du-blogue

Villa, G. (2014) PPA 1114 - WEB 2.0,  sécurité sur internet et i-pad [Présentation PowerPoint]. Repéré dans l'environnement StudiUM: https://studium.umontreal.ca/

vendredi 14 mars 2014

Le TNI

Je ne sais pas si vous pensez comme moi, mais dès qu’on me parle d’intégration des technologies de l’information et de la communication, je pense au tableau numérique interactif (TNI). Si je possède dans ma classe un TNI, je peux donc me considérer comme une enseignante qui intègre bien les TIC auprès de ses élèves. Le billet de cette semaine portera sur les inconvénients et les avantages du TNI.



À mon grand regret, je n’ai jamais eu la chance d’utiliser un tel outil lors de mes stages. Il m’est donc difficile d’émettre mon opinion sur les obstacles et les facilitateurs du TNI dans un contexte pédagogique. Toutefois, j’ai pu expérimenter le TNI une fois en suppléance pour finalement me rendre compte que posséder l’outil est une chose et savoir l’utiliser en est une autre. Ce premier inconvénient que je relève est aussi partagé par Lalande (2010). En effet, celui-ci explique que la présence d’un TNI dans une classe ne veut pas dire une intégration réussie des TIC. Il doit être accompagné d’une formation quelconque et d’une prise de conscience de l’enseignant. (Lalande, 2010) Ce dernier élément m’amène à parler d’un autre point négatif du TNI apporté par l’auteur. En tant qu’enseignant, on doit être conscient des possibilités d’utilisation du TNI sans quoi on ne développera jamais le plein potentiel de cet outil couteux.  Utiliser le TNI seulement pour classer des images, associer des mots ou assembler des casse-têtes revient à se servir de l’outil comme d’un projecteur. (Lalande, 2010) Il ne faut pas tomber dans le panneau… Pour l’éviter, la formation est la clé. Un autre inconvénient du TNI est l’ajout de minutes voir d’heures au temps passé devant un écran. De nos jours, les élèves ont de multiples occasions dans une journée de fixer un écran. Que ce soit celui du téléviseur, du Ipad, du Ipod, de l’ordinateur, d’une console portable de jeux vidéo et maintenant du TNI, passer trop de temps devant un écran est néfaste pour le développement de l’enfant et les rendre sédentaires. (Okely & Jones, 2011)

Heureusement, les avantages sont multiples! Au niveau didactique, le TNI permet à l’enseignant de rendre les manipulations visibles (concepts d’addition, de soustraction ou bien de déplacement du groupe complément de phrase par exemple), de partager avec ses élèves les pages créées tout en conservant les notes qui y sont prises ainsi que de revoir ces mêmes pages en classe. Le tableau vert à une utilisation éphémère. Une fois effacées, les notes et les idées sont perdues. (Lalande, 2010) Aussi, le TNI permet de créer des activités qui sont interactives. Cette interaction amène l’élève à être actif dans son apprentissage et est un facteur important de la motivation scolaire. Finalement, créer et animer des activités sur le TNI diminue la quantité de papier utilisé puisque tout est projeté sur un écran.  L’utilisation d’un tel outil nous permet donc d’être écologique et de développer en même temps  la compétence transversale exploiter les technologies de l’information et de la communication chez nos élèves!

Pour visionner une présentation qui résume les propos de Lalande : http://portal.sliderocket.com/AEMML/TBIeducation

En attendant de suivre une formation appropriée, voici un site internet plein d’informations et de ressources que je vous invite à consulter : https://sites.google.com/site/letableauinteractif/

L’auteur y a même inclus des tutoriels sur l’utilisation des outils du TNI et de Notebook. Voici une vidéo présentant les outils de Notebook :


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Lalande, M-A. (2010) Le tableau blanc interactif (TBI) en éducation : ses avantages et ses limites. Service national du RÉCIT. Repéré : http://www.treaqfp.qc.ca/113/pdf/Coup_oeil_oct10/TBI_en_education.pdf


Okely, A. D., Jones, R. A. (2011) Recommandations en matière de comportements sédentaires chez les jeunes enfants. Encyclopédie sur le développement des jeunes enfants. Repéré : http://www.enfant-encyclopedie.com/pages/PDF/Okely-JonesFRxp1.pdf

lundi 3 mars 2014

BrainPOP

Pour ce billet, je vous présente BrainPOP! C’est un site éducatif qui présente des centaines de films d’animation en ligne sur divers sujets abordés à l’école. Comme c’est un site français, les vidéos sont regroupées selon les domaines d’enseignement de l’école française : sciences de la terre, techno et ingénierie, sciences de la vie, histoire-géo et société, art et musique, mathématiques et français.






En cliquant sur ces onglets, on découvrir plusieurs films d’animation d’une durée de moins de 5 minutes chacun. À la fin du visionnement, il est possible d’effectuer un quiz. On peut soit l’imprimer, soit le faire en ligne. Si on décide de le faire en ligne, on a le choix entre le quiz progressif qui transmet le score à la fin du test ou bien le quiz interactif qui indique les erreurs après chaque réponse fournie.



Il est possible de faire une recherche parmi toutes les vidéos afin de trouver le film qui correspond au sujet étudié.



Le site BrainPOP permet d’intégrer les TIC facilement dans notre classe. On peut utiliser les vidéos comme mise en situation pour éveiller l’intérêt des élèves, comme méthode de révision pour vérifier les connaissances des élèves ou tout simplement pour…planifier nos cours! Les vidéos proposés sont très éducatifs et complets. L’équipe de BrainPOP est composée de scientifiques et de pédagogues. Cette source d’information est donc très fiable.

Ces cours vidéos sont parfaits pour combler un 10 minutes que l’on n’avait pas prévu à notre horaire. Ils ont une touche d’humour qui saura plaire à nos élèves. Les quiz qui accompagnent les vidéos rendent cette activité pédagogique.

En fouillant le site, j’ai découvert sous l’onglet techno et ingénierie des vidéos sur la technologie de l’information et de la communication. On y parle de la sécurité en ligne, des blogues, des réseaux sociaux, le stockage de données et j’en passe. Ce site est donc à jour par rapport à la réalité de nos élèves!


Je suis bien heureuse d’avoir fait cette découverte et j’ai vraiment hâte de l’utiliser lors de mon prochain stage!

vendredi 21 février 2014

Symbaloo

Voici une petite mise en situation:

Un site internet vous intéresse et vous désirez le conserver dans vos favoris. Toutefois, vous êtes à l’école ou au travail et vous n’avez donc pas accès à votre ordinateur personnel. Vous vous envoyez donc le lien par courriel afin de l’ajouter dans le marque-page de votre navigateur une fois arrivé à la maison. 

Vous reconnaissez-vous? Moi, oui! 

Cette façon de faire n’est pas bien pratique. Effectivement, ces favoris que vous créez ne sont accessibles que sur votre ordinateur personnel. Si vous changez d’appareil, vous perdez tous vos liens.

Bien que je me sois moi-même toujours bien débrouillée avec cette méthode, j’ai découvert le site Symbaloo qui est pratique et facile à utiliser. Il s’agit d’un portail en ligne qui vous permet de créer des webmix (pages) où vous insérez des liens dans des blocs prévus à cet effet. L’inscription est gratuite. Vous pouvez regrouper vos liens comme vous le voulez et créer le nombre de pages que vous souhaitez. Ces liens sont disponibles sur tous les ordinateurs puisqu’ils sont enregistrés dans un nuage disponible sur le web. Il est possible de partager ses webmix avec les autres ou bien de sélectionner le mode privé. Aussi, on peut ajouter des webmix à notre propre Symbaloo.



Dans un contexte de classe, le portail Symbaloo est plus que pertinent. On peut créer un webmix de classe et le partager avec nos élèves. Ils auront donc accès à des jeux éducatifs, en ligne, des exercices supplémentaires, des tests en ligne, etc. On peut aussi créer une page pour les parents et leur donner facilement accès à des ressources. 

Voici une page Symbaloo de classe créée par une enseignante : Classe de Madame Maryse

Un autre webmix au sujet des différents outils technologiques que l'on peut utiliser en éducation: EDU Tools

Si vous le désirez, cliquez ici pour accéder à une page qui vous guidera dans la création de votre Symbaloo.



mercredi 12 février 2014

Bubbl.us



Pour ce deuxième billet, j’aimerais vous présenter le générateur de réseaux de concept bubbl.us. Disponible en ligne, il permet de créer facilement et rapidement des réseaux de concept en liant des «bulles» entre elles. À la fois une stratégie d’enseignement, une stratégie d’apprentissage et un outil de communication, la carte conceptuelle amène le concepteur de celle-ci à activer ses connaissances antérieures et à faire des liens entre les idées. Ceci facilite donc l’intégration des connaissances chez l’utilisateur. (Laflamme, 2011) En tant qu’enseignante, il est donc très pertinent de se familiariser avec les réseaux de concept. Le site que je vous présente ne vous rendra la tâche que plus facile.

Carte conceptuelle de mon billet


Après l’avoir utilisée dans un de mes cours à l’université, je suis maintenant en mesure de dresser la liste des avantages et des inconvénients :  

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  • Un tutoriel en ligne ainsi que des exemples de réseaux de concepts sont offerts.
  • Le générateur est simple d’utilisation.
  • On peut changer la couleur des bulles et du texte
  • Le produit final est visuellement attrayant.
  • Une sauvegarde automatique se fait chaque 20 secondes.
  • Il est possible d’enregistrer sur son ordinateur la carte conceptuelle sous format .jpg ou .png dans le but de la télécharger sur le web.
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  • Le site est en anglais.
  • On soit avoir accès à internet pour utiliser le générateur, car c’est une ressource en ligne.
  • Si on veut imprimer une carte conceptuelle comprenant un grand nombre de bulles et de liens, le produit final est très petit et difficile à lire.
  • Pour pouvoir joindre des fichiers, des liens internet ou des images aux bulles, on doit mettre à niveau notre compte et cela est payant.

Bref, je suis satisfaite de ce générateur de réseaux de concept et je le recommande pour l’élaboration de carte conceptuelle. Avec un peu de pratique, je crois que la plupart des élèves peuvent en comprendre le fonctionnement même s’ils ne parlent pas l’anglais. Mon seul bémol concerne les réseaux de concept plus élaborés qui perdent de leur qualité et de leur intelligibilité lors de l’impression. 

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Laflamme, A. (2011) Soutenir l’apprentissage en profondeur et la collaboration avec les cartes conceptuelles. Université de Montréal : Montréal. 

vendredi 31 janvier 2014

Est-ce que la vidéo réinvente l’éducation?



C’est à cette question que je tenterai de répondre dans le billet de cette semaine. Avant de prendre position sur la conférence animée par Salman Khan, je vous invite à la visionner.


Pour ceux qui n’ont pas le temps de regarder la vidéo, voici le résumé de la conférence repéré au lien ci-dessus :

  «Salman Khan parle du pourquoi et du comment de la création de la remarquable Khan Academy, une collection soigneusement structurée de vidéos éducatives qui offrent un programme complet en mathématiques, et, maintenant, dans d'autres domaines. Il démontre le pouvoir des exercices interactifs, et appelle les enseignants à réviser le contenu d'une classe traditionnelle -- en donnant aux étudiants des conférences vidéos à regarder à la maison, et en faisant les "devoirs" dans la salle de classe avec l'enseignant disponible pour apporter de l'aide.»

À la suite du visionnement de la conférence, j’ai dégagé deux pratiques principales dans le programme proposé par Khan, soient les vidéos éducatives regardées à la maison et les exercices interactifs faits en classe sous la supervision de l’enseignante. Étant étudiante au Baccalauréat en adaptation scolaire, l’éducation des élèves handicapés ou en difficulté d'adaptation ou d'apprentissage (HDAA) a évidemment eu une influence sur ma prise de position. 

Je crois que le programme d’enseignement proposé à la Khan academy peut effectivement réinventer le monde de l’enseignement auprès de l’éducation des adultes, des élèves du secteur régulier dans les écoles primaires et secondaires ainsi que pour les enfants qui font l’école à la maison. Pour profiter de cette technologie, les apprenants doivent être autodidactes ainsi que faire preuve de maturité, de motivation, d’organisation et d’autonomie. 

Vraisemblablement, ce sont des habiletés que l’on retrouve rarement chez les élèves HDAA. C’est pourquoi mon opinion est plutôt nuancée en ce qui concerne l’application du programme de M. Khan auprès de ces élèves.

D’une part, je constate que les vidéos éducatives que les élèves doivent regarder à la maison ne sont pas du tout appropriées à l’enseignement des différents concepts à l’étude. Voici mes arguments :

- Il n’y a pas de possibilités de différenciation des apprentissages; tous les élèves visionnent la même vidéo.

- L’élève n’est pas actif dans son apprentissage. Vienneau (2011, p.181) explique l’importance de l’activité et du contact direct avec l’environnement chez l’apprenant qui «doit construire activement ses connaissances par des manipulations, des mises en situation, des expériences diverses dans l’environnement scolaire et dans son milieu de vie.» Le simple visionnement d’une vidéo ne permet pas tout cela.

- Avez-vous déjà observé un enfant qui regarde un écran de télévision ou d’ordinateur? L’enfant devient amorphe, la bouche ouverte et les yeux vitreux. Il semble être absorbé dans un autre monde. Il subit la vidéo au lieu de vivre l’apprentissage. À long terme, cela ne peut pas être bénéfique pour son apprentissage.

- Une vidéo ne pourra jamais remplacer l’être humain. C’est la chaleur, la présence et le soutien d’un enseignant ou d’une enseignante que l’élève HDAA a besoin lorsqu’il effectue un apprentissage.

- Aucune rétroaction directe ne peut être donnée à l’élève lors de l’apprentissage puisqu’il se trouve à la maison devant une vidéo qui défile sans s’arrêter pour répondre à ses questions.

D’autre part, je soutiens que les exercices interactifs effectués en classe sont adaptés et adaptables aux élèves d’une classe d’adaptation scolaire. Voici mes arguments :

- Comme l’enseignement de la matière ce fait à la maison, l’enseignante a plus de temps en classe pour la pratique. Elle peut prendre le temps d’observer les élèves et de soutenir ceux qui en ont le plus besoin.

- L’élève chemine à son propre rythme dans les exercices qui lui sont proposés. Le système est programmé de telle sorte que l’apprenant doit réussir une série de 10 exercices avant de passer à la prochaine. Le niveau de difficulté augmentant d’une série à l’autre. Suivre le rythme d’apprentissage de chacun est bénéfique pour tous les élèves, spécialement pour ceux des classes d’adaptation scolaire.

- Grâce au tableau des apprentissages et aux différents graphiques, l’enseignante est facilement au courant du cheminement des élèves. Elle peut donc rapidement identifier les élèves qui éprouvent des difficultés et leur apporter du support.

- Aussi, l’élève peut voir sa progression et toutes les réussites qu’il a effectuées. Cela est extrêmement motivant et bon pour l’estime de soi de l’apprenant. Les élèves en difficulté ont souvent une image négative d’eux-mêmes et les différents échecs auxquelles ils doivent faire face minent leur motivation. (St-Laurent, 1995) Or, ce sont deux aspects très importants dans la réussite scolaire.

- Dans le tableau des apprentissages, l’enseignant peut en profiter pour regrouper un élève qui a de la difficulté dans un concept (rouge) avec un élève qui n’en éprouve pas (vert). Le tutorat par les pairs peut être bénéfique pour les élèves en difficulté qui sont parfois plus habiles que les enseignants pour expliquer un concept qui échappe à un élève. En effet, St-Laurent (1995) qualifie ce mode de regroupement comme utile et efficace auprès des élèves à risque.

Voici le tableau des apprentissages et les différents graphiques (captures d’écran de la conférence repéré à :  


Chaque ligne représente un élève et chaque colonne un apprentissage. Le vert indique que l’élève maîtrise la matière, le bleu qu’il y travaille encore et le rouge qu’il a un blocage concernant le concept.


Graphique indiquant les problèmes réussis et ceux échoués.


Graphique indiquant la progression de tous les élèves de la classe dans les modules à l’étude au fil des jours.


Graphique indiquant les minutes passées par les élèves à faire les exercices et visionner les vidéos
 

Graphique indiquant les contenues des vidéos visionnées et des exercices effectués.


Tout comme les approches, les programmes d’intervention et les pratiques communes à la pédagogie, le programme de M. Khan n’est pas différent. Il peut faire des miracles chez certains élèves alors que pour d’autres, il les mène à l’échec. En tant qu’enseignante, il est impératif de choisir les approches et les programmes qui sauront répondre aux besoins et aux difficultés de nos élèves. J’ai bien aimé découvrir cette nouvelle façon d’enseigner et c’est une autre connaissance que j’ajouterai à mon coffre à outils d’enseignante!

Et vous, qu’en pensez-vous? Partagez-vous la même opinion que moi?

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St-Laurent, L., Giasson, J., Simard, C., Dionne, J., Royer, É. Et collaborateurs. (1995) Programme d'intervention auprès des élèves à risque : une nouvelle option éducative. Montréal : Gaëtan Morin Éditeur.

Vienneau, R. (2011) Apprentissage et enseignement : théories et pratiques. Montréal : Gaëtan Morin Éditeur.